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A TRES VITE

A TRES VITE

Bonne fin de soirée et..n'oubliez pas d’être heureux !!!

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Les femmes ont (parfois) de bonnes raisons de simuler l'orgasme

Les femmes ont (parfois) de bonnes raisons de simuler l'orgasme

Si les hommes sont persuadés d'être capables de détecter à tout coup un orgasme simulé chez leur partenaire, la réalité est bien différente. Dans une étude déjà ancienne menées sur 86 couples par le psychologue Randy Thornhill de l'université du Nouveau-Mexique à Albuquerque, dix hommes surestimaient d'au moins 20 % la fréquence de l'orgasme féminin. Dans l'un des couples, où l'homme annonçait que sa partenaire avait «un orgasme à chaque fois», celle-ci confiait même aux chercheurs «simuler à chaque fois».

Mais pourquoi certaines femmes simulent-elles l'orgasme?

certaines raisons de simuler l'orgasme sont liées à l'augmentation de la qualité de la relation et à l'accroissement du plaisir», remarquent les chercheurs de Pennsylvanie. «La décision de simuler pendant une pénétration ou un cunnilingus est souvent motivée par des objectifs psychologiques importants», précisent-ils, ajoutant qu'une «vision plus large et moins négative de la simulation s'impose».

Les sexologues déconseillent habituellement de simuler car la sincérité est le fondement d'une bonne communication sexuelle dans le couple. Le ou la partenaire ne peut en effet pas ajuster correctement son comportement si de fausses informations lui sont fournies. Cela implique toutefois que les deux partenaires aient suffisamment de maturité pour comprendre que l'orgasme n'est pas indispensable à la satisfaction émotionnelle que procure cet instant d'intimité partagé, et qu'il n'y a aucune obligation à jouir. Paradoxalement, la «course à l'orgasme» peut même empêcher de savourer l'instant, dès lors qu'elle devient un impératif

Le mythe de l'homme qui doit «faire jouir» sa partenaire

C'est pourtant bien le souci de l'autre qui apparaît comme l'une des principales raisons de simuler au cours de la pénétration, du moins pour celles qui adhèrent au mythe de l'homme qui «doit» faire jouir sa partenaire («pour que mon partenaire ne se sentent pas maladroit si je n'ai pas eu d'orgasme», «pour qu'il ait l'impression d'avoir réussi», «parce que je pense que c'est important pour mon partenaire de savoir qu'il me fait plaisir», «pour booster l'ego de mon partenaire», figurent parmi les raisons les plus souvent avancées). D'autres simulent en revanche pour accroître leur excitation et augmenter leur plaisir.

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Pourquoi les cougars ne sont pas des femmes libérées !

Pourquoi les cougars ne sont pas des femmes libérées !

Pourquoi les cougars ne sont pas des femmes libérées

Qu'est-ce que le féminisme aujourd'hui ? Maryse Vaillant tente de répondre dans son ouvrage "Sexy soit-elle", aux éditions poche-marabout. Extrait

Des femmes mûres, et fières de l’être, s’exhibent au bras de jeunes gens pour bien montrer qu’elles ne craignent pas la concurrence, qu’elles sont au top de leur séduction, et surtout qu’elles ne font pas leur âge. Comme l’ont fait de tout temps les hommes à la libido fragile, elles se rassurent en montrant leurs jeunes trophées sexuels.

Certaines pensent qu’il s’agit là d’une nouvelle avancée de la condition féminine : pouvoir choisir la jeunesse et l’ardeur d’un garçon plutôt que la notoriété ou la richesse d’un homme. Se libérer, donc, des codes de l’assemblage amoureux, de la différence d’âge et de genre dans le couple.

Elles ont en partie raison, mais je crains fort que ce besoin de démonstration ne prouve au contraire combien notre société est rétive à accueillir le vieillissement des femmes comme un élément de la féminité. Cela ne date pas d’hier que des femmes aient des amants plus jeunes que leurs maris et bien plus jeunes qu’elles. L’expérience des unes et la jeunesse des autres ont toujours fait bon ménage au lit.

C’est ainsi que des femmes mûres ont su initier des jeunes gens en leur faisant découvrir le corps féminin, aimer et faire jouir les femmes pour leur plus grand plaisir comme pour celui des garçons, qui apprenaient ainsi à devenir des hommes. Beaucoup le font encore, mais cela reste une affaire privée, comme le sont en général les histoires d’amour, d’alcôve ou de sexe. Il n’est nul besoin d’aller le crier sur les toits.

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