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Sexe : les femmes beaucoup plus libérées qu’avant

Sexe : les femmes beaucoup plus libérées qu’avant

Les femmes connaissent deux fois plus de partenaires sexuels qu’il y a vingt ans, si l’on en croit une étude britannique.

Les femmes sont plus aventurières au lit. Un sondage national mené auprès de 15 000 adultes âgés de 16 à 74 ans de 2010 à 2012 nous éclaire sur l’intimité des Britanniques et, plus largement, sur le comportement sexuel des femmes.
Une femme connaît en moyenne 7.7 partenaires sexuels au cours de sa vie. Un chiffre en augmentation car il était de 6.5 partenaires en 2001 et de 3.7 en 1991 ! Chez les hommes l’évolution du nombre de partenaires est moins remarquable : de 8.6 en 1991, il est passé à 12.6 en 2001 avant de baisser à 11.7 aujourd’hui.

L’étude parue dans la revue scientifique The Lancet souligne que 31% des hommes de 16 à 24 ans et 29 % des femmes ont connu leur premier rapport sexuel avant l’âge de 16 ans.

Si le sondage montre que les adultes restent sexuellement actifs quel que soit leur âge, les pratiques sexuelles autres que vaginales sont moins répandues à mesure que l’on avance dans l’âge. 71 % des femmes de 16-24 ans ont eu des rapports sexuels oraux l’an passé contre 19% des femmes de 65 à 74 ans. Le sexe anal est encore plus rare chez les plus de 65 ans avec moins de 4 % en moyenne, contre moins de 19% chez les 16-24 ans.

Hommes et femmes confondues, la fréquence des rapports sexuels a décliné par rapport à la même enquête réalisée en 2001. Alors qu’en 2011, on faisait six fois l’amour en moyenne par mois, les Britanniques le font aujourd’hui cinq fois par mois. Cette baisse relative serait liée au changement démographique selon Kaye Wellings, principal auteur de l’étude : “Cela peut être en partie lié à la baisse du nombre de couples mariés ou vivant en concubinage qui crée moins d’occasions d’avoir des rapports sexuels, bien que même chez les couples vivant ensemble la fréquence des rapports sexuels a tendance à diminuer”.

Une évolution en phase avec la société


S’il y a un enseignement à retirer de cette enquête, c’est que les femmes tendent à rattraper le sexe opposé dans leur sexualité, que ce soit dans leurs pratiques, leur fréquence ou le nombre de partenaires.

“Dans certains aspects de leur sexualité, le fossé entre hommes et femmes tend à se combler, analyse Kaye Wellings. (…) Ces tendances doivent être mises en perspective avec les profonds changements concernant la place des femmes dans la société, leur mode de vie et la représentation médiatique de leur sexualité”.

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Bria et Shayne: les splendides filles d’Eddy Murphy Les deux jeunes femmes affolent la Toile

Bria et Shayne: les splendides filles d’Eddy Murphy  Les deux jeunes femmes affolent la Toile

Elles ont 24 et 19 ans et quelque chose nous dit que l’on n'a pas fini d’entendre parler d’elles. Bria et Shayne, les deux filles aînées d’Eddy Murphy, enflamment le web après avoir posté des photos sexy sur le réseau social Instagram.

La relève du clan Murphy est assurée. Si la star de la famille, Eddy, se fait plutôt discrète ces dernières années, deux de ses filles, Bria et Shayne (nées de son union avec Nicole Mitchell, mannequin et star de téléréalité, avec qui l’acteur était en couple entre 1993 et 2006) commencent à faire parler d’elles.

Leur shooting (on ne sait pas pour l'heure où il sera publié) pour iamEpic, un photographe de Los Angeles, fait actuellement le buzz sur les réseaux sociaux.

Les plus observateurs avaient déjà pu apercevoir les physiques avantageux des deux jeunes femmes dans la presse people lors de leurs vacances avec leur père l’été dernier à Hawaï.

Plutôt à l’aise avec leur silhouette, les deux jeunes filles se mettent aussi régulièrement en scène sur leurs comptes Twitter ou Instagram. Si Shayne (19 ans) est encore inconnue par le grand public, le visage de Bria (24 ans) est un peu plus familier. Depuis trois ans, la jolie métisse représente au niveau mondial la marque Dark and Lovely destinée aux femmes noires

Sous contrat avec l’agence LA Models, Bria a déjà posé dénudée pour la magazine Maxim. Et ce n’est sans doute qu’un début!

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le sexe oral pourrait donner plus de cancer de la gorge que le tabagisme.

le sexe oral pourrait donner plus de cancer de la gorge que le tabagisme.

Des études récentes ont confirmé le sexe oral comme un des principaux facteurs à l’origine de cancers de la bouche / gorge. La puissance du sexe oral pour causer le cancer de la bouche est beaucoup plus virulente que les agents cancérigènes dans le tabac et l’alcool. Le sexe oral est le risque élevé de transmission du VIH / sida.

Il a été confirmé que l’infection par le virus du papillome humain (VPH) liée à la pratique sexuelle est déjà la principale cause de cancer de la bouche (bouche et les tumeurs de la gorge), à l’exception d’un cancer provoqué par le tabagisme. Ces résultats sont cohérents avec des études qui affirment que «ceux» qui ont des relations sexuelles orales avec plus de six individus sont huit fois plus susceptibles de développer cette maladie que les moins promiscuité. Selon l’Institut national du cancer, il ya 150 types différents de VPH (cancers) et 40 d’entre eux peuvent être transmises sexuellement.

En outre, d’autres études ont démontré que les femmes qui ont pris plus de partenaires sexuels au cours de leur vie ont un risque de développer un cancer du col utérin.

Le virus en sommeil

Le virus peut incuber la partie privée d’une femme pendant de nombreuses années sans aucun signe de cancer si elle prend bien soin du corps par une forte consommation de fruits / légumes, activité physique, etc. Cela ne signifie pas que le virus est mort ou inactif à infecter. Le virus est en sommeil grâce à un système immunitaire fort.

Enfin, quand un homme lèche une femme’il a le risque élevé de lécher le virus du papillome humain (VPH), le VIH / sida, la candidose, la syphilis, la gauche sur la menstruation, les matières fécales, l’hépatite et d’autres cellules de cancer.

Quand une femme lèche ainsi des organes génitaux masculins, elle a également le pouvoir de lécher le VIH / sida, l’hépatite et la syphilis primaire qui peut causer des lésions non douloureuses sur les organes génitaux.

Source: G.M.VO (Groupe Des Medecins Volontaires)

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COURRIER DU COEUR (14 fevrier 2014)

COURRIER DU COEUR (14 fevrier 2014)

Je suis heureuse que vous repreniez , enfin 'le courrier du cœur''

En ce jour de St Valentin je tiens a adresser cette lettre.... à un homme qui immanquablement se reconnaitra a travers ce recit.....

Mon petit nom est Yngi ,(je suis d'origine francaise )

je suis de profession libérale et amenée à beaucoup voyager pour mes affaires !

Coté sentimental,J'ai eu beaucoup d’expériences malheureuses qui m'ont laissées des "séquelles"

tant et si bien que j'avais décidé faire une croix sur toutes relations masculines...!

Une amie m'a inscrite sur un site de rencontres et par curiosité j ai accepté de jouer le jeux , beaucoup plus par curiosité qu autre chose ...

Et, c'est là que j'ai rencontré un Homme avec qui j'avais de nombreux points communs et une grande complicité ! Petit a petit des sentiments se sont installés et au fil des mois ils se sont renforcés!

Cet homme à su me redonner confiance en moi, confiance en l amour et j'etais perssuadé avoir enfin trouvé l homme qui me convenait a tout point de vue !

Il est originaire d'un pays d'Afrique de l'Ouest occupant un poste a responsabilité (Officier dans l'armée ) et donc par deduction 'HOMME DE PAROLE "

je resume mon recit car je pourrais vous ecrire des pages et des pages....bref,

cet homme m'a invité a venir le retrouver dans son pays tout frais à sa charge afin que ns fassions plus ample connaissance ...!

J'ai accepté car j'etais follement amoureuse de lui et il me semblait normal de concretiser notre relation qui durait depuis prés d une année !

Etant en poste dans une ville de l interieur je devais le rejoindre apres qlqs jours passés dans la capitale ayant des amis a voir!

tous les jours ns etions accrochés au telephone et notre amour (virtuel) etait sans taches!

Nous avons convenus d une date pour qu il vienne me retrouver afin que ns remontions ensemble dans sa ville de fonction...!

Vous ne me croirez pas si je vous disais que du jour au lendemain plus aucune nouvelles de lui....

Evaporé dans la nature..!!!!

comment analyser une telle situation ? une telle inconscience ? une telle lacheté ?

En ce jour de la St Valentin je pense à lui ..il lira ce message j'en suis persuadé car il est accro a votre page..

Comment jugez vous cet homme ?

J'ai beaucoup de peine pour lui car il est d une lâcheté sans nom ..je ne lui en veux même pas car ce serait trop lui faire d honneur et çà il ne le merite pas !

Bonne St Valentin a vous messieurs , mais SVP respectez l'amour que nous vous portons !

Merci a vous INTIME CONFIDENCE et bonne reprise du ''courrier du cœur

YNGI "

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TOI et MOI ..dans le silence de la nuit.....!!

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Secrets de femmes pour retenir les hommes

Secrets de femmes pour retenir les hommes

Moyens traditionnels de séduction

Les secrets des femmes pour retenir les hommes

Perles, tresses... des moyens propres aux Africaines pour séduire.

Avoir son homme toujours auprès de soi, un souci permanent pour les femmes. Les Africaines ont leurs solutions à travers des moyens traditionnels de séduction.

Enquête dans le milieu des femmes.

Belles, ensorcelantes, toutes les femmes sont pareilles, selon certains hommes. Pourtant, individuellement, on décèle chez elles des qualités diverses de séduction. Mais la tâche n’est pas aisée. Souvent, c’est un vrai parcours du combattant. Chacune, en effet, y va de son génie. Notamment en utilisant des secrets traditionnels. « Avec les hommes il faut savoir entretenir le suspense, créer une atmosphère d’érotisme pour qu’il ait soif de vous. Voilà à quoi sert la lingerie de séduction dans les us et coutume africains », explique Mme Coulibaly Maïmouna, une quinquagénaire malienne. Parmi les parures secrètes qu’elle utilise pour éblouir son homme, elle cite le « pénéloue » (petit pagne similaire au jupon), le « baya » (collier attaché autour des reins) et le « caléi » (poudre noirâtre mise entre les cils et les sous cils).

Mais elle précise que le baya est une parure réservée uniquement aux femmes mariées. Constitué de perles, il s’assimile à un chapelet des perles en or, en argent ou bien d’autres matières choisies en fonction de la classe sociale de la femme. Ce collier une fois embaumé d’encens est attaché aux hanches et couvert d’un pénéloue. Avec le caléi mis aux yeux, la femme devient sublime comme ‘’une reine égyptienne’’. « Imagine un mari qui arrive à la maison après une dure journée de travail. Sa femme l’accueille avec sourire. Comble de joie pour un homme marié. La cerise sur le gâteau, c’est que dans la chambre, la femme bien parfumée, défile avec un baya dont elle seule connaît le secret de la mélodie jouée du fait de ses déhanchements. L’homme est nostalgique des moments inoubliables d’une soirée intime.

Il ne peut que succomber à la séduction », rassure-t-elle. Elle ajoute qu’autrefois, il était de coutume pour les parents d’offrir un colis contenant les accessoires de séduction traditionnelle ‘’travaillés’’ (embaumés de senteur ndlr). « Les parents embaumaient le baya, le panéloue, et le calaié d’encens et d’incantation de bénédiction de la nouvelle mariée afin que les époux ne se séparent que par la mort. Ils étaient unis pour le meilleur et le pire », affirme pour sa part, Mme Coulibaly Maïmouna. L’effet provoqué par le Baya, mélange de perle d’or ou d’argent est électriquement envoûtant, confie t-elle. « Seul le mari a le droit de les voir quand la femme en porte. Si par hasard, un autre homme le voyait, il risque de se jeter sur elle comme un félin affamé. Tant il est beau, envoûtant et même ensorcelant», exalte-t-elle. Et d’ajouter : « souvent quand un homme est polygame, les femmes rivalisent d’ardeur pour le retenir en utilisant ces secrets traditionnels ».

A l’en croire, le parfum, la mélodie des perles et la qualité du petit pagne sont des armes fatales pendant les moments intimes. Par atavisme, elle lave et parfume ses parures avant de recevoir le mari. « Quand l’homme quitte chez elle pour se rendre chez la coépouse, il est pressé de revenir si celle-ci n’a pas été à la hauteur », révèle-t-elle. Selon Mme Coulibaly Maïmouna, il y a des penéloues qui ne dépassent pas le ras des fesses et d’autres qui peuvent atteindre les chevilles. Fait de tissu transparent, doux ou de matières tressées, ses couleurs communiquent les dispositions de la femme pour son homme. Soit qu’elle est fatiguée, soit qu’elle a envie de lui ou qu’elle est indisponible etc. Quant à Mme Sylla, elle révèle que certains pénéloue sont seulement utilisés pour aller au lit. « Il y a des pénéloue qu’on porte pour aller au lit. Une fois qu’on a quitté le lit, la femme l’enlève et le dépose dans un flacon rempli d’encens à cet effet. Ces pénéloue ne doivent jamais être en contact avec de l’eau.

Le cache-sexe et les aphrodisiaques

Les femmes Akan utilisent différents types de kaolin pour faire des fonds de teint ou des tatouages, afin de plaire davantage aux hommes. « Il y a le kaolin violet et blanc qu’elles utilisent les jours de fête, de repos ou d’évènements heureux pour se faire belles » explique-t-il. Mais de tous ces moyens, les toilettes à base de produits traditionnels tels que le « Plèk’coumâ » (fruit d’un arbre sauvage) et également écorce d’arbre sont utilisés pour dégager une odeur attirante. « Une femme bien parfumée de ces arômes et souvent avec le corps enduit d’huile de palme ne laisse pas son amoureux indifférent ». Dans l’intimité du couple, le cache-sexe que les Agnis appellent ‘’ablacon’’ ; ‘‘alacoun’’ chez les Baoulé, est d’une importance capitale dans la séduction. « Quand les tourtereaux se retrouvent, ce petit pagne de couleur rouge ou blanc a le pouvoir de provoquer un émoi indescriptible chez l’homme. Soutenu à la hanche par des « côfis » (perles), l’alacoun est un critère de beauté dont l’entretien et la qualité créent un magnétisme indescriptible » ajoute t-il avec un sourire évocateur.

En outre, les tresses et nattes donnent de l’allure à la beauté de la femme. Pour plaire à son homme, la femme akan doit avoir une gestuelle sensuelle, mettre en valeur son physique tout en étant une bonne maîtresse de maison. Ce sont ces éléments qui lui permettent d’attirer et de maintenir son homme. Ne dit-on pas que ce sont les vieilles marmites qui font la bonne sauce ! Au-delà des peintures faciales, des coiffures somptueuses, bijoux et vêtements érotiques, la bataille de la séduction se fait également par l’alimentation. « La nourriture proposée par une femme à son homme est un moyen pour attirer et maintenir l’homme. Ainsi une femme peut offrir à son homme des mets qui réveillent en lui l’envie d’être avec sa femme. C’est le cas du jus de gingembre. On a également le ginseng, les épices et bien d’autres. Ces condiments ont des vertus stimulantes. Pour l’homme comme pour la femme, ce sont des aphrodisiaques », signale Mme Michelle. Pour elle, beaucoup de matières naturelles sont utilisées traditionnellement pour retenir son homme.

A titre d’exemple, elle cite le miel qui réduit l’élasticité féminine, l’argile verte, certaines huiles et d’autres savons utilisés pour adoucir et étinceler la peau. « Parmi les aphrodisiaques traditionnels que la femme utilise pour maintenir son homme, le miel est couramment utilisé dans beaucoup de secrets de beauté et de séduction » dit-elle. On peut également lire dans un article « qu’au Sénégal, le bethio dit « petit pagne »(Bekou-soukar,tame thiere,keyitoukeur gui en wolof) est un vêtement, très lié à la séduction et à l’érotisme en Afrique qui peut être porté avec un ou plusieurs collier(s)de perles autour des hanches. (Dial Dialy est le collier porté par les femmes, Bine Bine étant celui porté par les jeunes, mot qui signifie aussi « doucement » en wolof) autour de la taille pour notamment mettre en valeur le corps dans certaines danses aux déhanchements évocateurs ».

Tout ceci concourt à stimuler l’être aimé et à le maintenir.

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Faire l’amour......

Faire l’amour......

Faire l’amour, ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour.

Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.

Faire l’amour, c’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.

Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.

Faire l’amour, c’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.

Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.

Faire l’amour, c’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.

Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.

Faire l’amour, peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.

Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.

Faire l’amour, c’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.

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BONNE FETE DE ST VALENTIN

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Une femme américaine transportée aux urgences après trois heures d’orgasme

Une femme américaine transportée aux urgences après trois heures d’orgasme

L’orgasme de Liz a duré plus de trois heures avant de finalement trouvé le soulagement.

Liz, qui n’a pas donné son nom de famille, a raconté comment elle a tout essayé de sauter à l’eau potable juste pour atténuer sa douleur

»J’ai commencé a sautiller pour voir si cela ferait quelque chose » dit LIZ à propos de sa première heure frénétique.

«J’ai commencé à essayer de boire du vin à voir si cela calmerait mon système. J’ai essayé à peu près tout choses possibles pour voir si je pourrais faire cesser l’orgasme que j’avais. »

Eric a conduit sa partenaire aux urgences,

L’orgasme de Liz a continué pendant une heure à l’hôpital avant de finalement décliner.

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Son père est pasteur, mais il a pourtant eu le courage de lui avouer son homosexualité.

Son père est pasteur, mais il a pourtant eu le courage de lui avouer son homosexualité.

Julien, 25 ans, originaire d’Haïti, a osé dire la vérité tout simplement et ne pas se mentir à lui-même, ni à Dieu. Portrait d’un véridique.

Vêtu d’un élégant long manteau gris, Julien est en plein discussion avec une dizaine de membres de l’association "Total respect" qui vient en aide aux homosexuels afro-caribéens. Le jeune homme de 25 ans, originaire d’Haïti, est l’objet de toutes les attentions, à la sortie de la réunion hebdomadaire de l’organisation, dont le bureau est situé dans le 19ème arrondissement de Paris. « Mais comment as-tu osé dire à ton père qui est pasteur que tu étais homosexuel ? Moi je n’aurai jamais eu le courage ? », lui lance une des responsable de l’association. « Je ne pouvais pas me mentir à moi-même. Ni cacher la vérité. Sinon, c’est comme si je mentais à Dieu ! », réplique le jeune homme face à ses interlocuteurs médusés.

Véridique. Ça, c’est bien Julien, qui refuse catégoriquement de mentir sur ce qu’il est, malgré le qu’en dira-t-on, et la réputation que ça pourrait lui coûter. Le jeune homme à la voix posée, aux gestes raffinés, n’est pas du genre à paraître pour ce qu’il n’est pas. Journaliste de formation, il présente des émissions dans une radio destinéé à la communauté gay. Une forme d’engagement pour celui qui est droit dans ses bottes, militant pour que tous les homosexuels se sentent bien dans leur peau.

« Je suis en paix avec moi-même »

Lui qui a su, vers l’âge de 16 ans, qu’il préférait les hommes, même si pour le moment il est célibataire, sait pertinemment que la communauté de l’Eglise, où il se rend, est au courant qu’il est gay. « Les nouvelles vont vite. Je l’ai dit à une personne que je fréquentais à l’église qui est partie le répéter à un autre, qui l’a à son tour dit à un autre... ». A église, « ils se sont mis à prier pour que je devienne hétéro », confie-t-il, en esquissant un sourire. Même s’il est pointé du doigt, et stigmatisé, il ne regrette pas d’avoir fait le choix de dire la vérité. Au moins, « je suis en paix avec moi-même ». Ses parents, notamment son père, pasteur, a eu beaucoup de mal à accepter son homosexualité, contrairement à ses frères et sœurs qui l’ont bien pris. « Mon père ne l’a toujours pas digéré », explique le jeune homme, qui le comprend tout à fait. « Pour lui, c’est d’autant plus incompatible qu’il est pasteur ».

Pour éviter des tensions, Julien a décidé très tôt de voler de ses propres ailes, quittant le cocon familial, pour prendre un appartenant dans la capitale parisienne. Toutefois, il a gardé de bonne relations avec ses parents, bien qu’ils « auraient préféré que je me marie avec une femme et que j’ai des enfants ». L’homosexualité est d’autant plus difficile à accepter pour les communautés afro-caribéennes qui estiment souvent qu’elle a été importée de l’occident. Julien, originaire de Haïti en sait quelques chose. Raison pour laquelle, lui qui a toujours vécu en France, n’a aucun lien avec son pays d’origine, où il ne se rend quasiment jamais. Est-ce qu’il y serait accepté ? Ce serait sans doute plus difficile pour lui. Il le sait, lui qui veut vivre tel qu’il est. Sans se cacher. Libre, et surtout sans mentir à Dieu.

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